Abarth 500 C

Après la Punto Evo, voici l'Abarth 500 C, savant mélange de la Fiat 500 C et de l'Abarth 500. Le sympathique pot de yaourt, non content de s'effeuiller en décapotant l'été, décide d'enfiler sa tenue de sport pour encore mieux enflammer les filles ! Ce n'est pas le froid des JO de Vancouver qui lui fait peur ! Elle se révèle donc dans une superbe teinte bicolore très... rétro !

L'Abarth 500 C

Son moteur est une évolution du 1.4 l TJet, poussé à 140 chevaux (contre 135 pour l'Abarth 500 coupé), pour un couple de 208 Nm. Une boîte séquentielles à palettes aux volants est prévue, tout comme un programme sport qui raffermit les suspensions. Ainsi, le 0 à 100 km/h s'efface en 8,1 secondes pour 205 km/h en vitesse de pointe. Une EsseEsse est au programme. Vivement cet été, qu'elle se découvre et qu'on la découvre !

Arrivée cet été !

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Nicou.

Abarth Punto Evo

La Fiat Punto Evo, avec sa calandre de Fiat 500 et ses boudins, n'a pas fait l'unanimité. Il faut dire que la Grande Punto avait une bien flatteuse calandre de Maserati. Mais la Punto Evo arrive en version "Abarth", marque ressuscité il y a peu dans le but de créer des véritables bombes sur base de Fiat. Le troisième modèle de la firme sportive depuis sa résurrection s'annonce tout aussi diaboliquement survitaminé que les précédents!

L'Abarth Punto Evo nouvelle édition.

Il y a deux jours encore, je passais devant l'espace Abarth du concessionnaire Fiat et me disais : "Woaw, cette Abarth Grande Punto n'a pas pris une ride". Maintenant arrivent les photos de la Abarth Punto Evo et je suis tout aussi ébloui. Fiat a repris la même recette et l'a encore plus exagérée. Pourtant il n'y a ni trop de sucre ni trop de sel. Un vrai plaisir pour les yeux. Le point le mieux traité de cette version sportive par rapport à l'Evo de base est que la baguette chromé type Fiat 500 devient une fente d'aération. Quant aux jantes, comme toujours chez Abarth leur dessin est des plus recherché, parfait.

Des performances améliorées

Seul le 1400 multiair de 165ch est disponible. Mais en version EsseEsse, le moteur grimpe à 180 ch, et l'Abarth reçoit des disques ventilés et perforés, d'autres jantes inédites en blanc ou en titane ainsi que des suspensions retravaillées. De base, son 0 à 100km/h s'expédiera en 7,9 secondes, et grâce au Stop & Start et au Gear Shift Indicator (un système qui indique le meilleur moment pour changer de rapport), ses émissions de CO² seront réduites de 10%. Si maintenant le sport s'allie au respect de la planète, il n'y a plus de raison de résister à cette belle Abarth.

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Lulu & Nicou.

News : Lexus CT 200h

Ce n'est pas la grande forme pour Lexus ces derniers temps: après plusieurs rebadging de modèles Toyota pour l'Asie et l'Amérique, une LFA certes musclée mais aux traits grossiers, voilà qu'arrive une compacte écolo au design aussi fade que compliqué, la CT 200h.

L'écologique Lexus CT 200h

Malgré leur âge honorable, l'Audi A3 et la BMW Série1 peuvent dormir tranquilles : cette Lexus risque d'avoir bien du mal à séduire. Tout d'abord on remarque le logo bleu, la marque des modèles écologiques de Toyota. Mais justement il ne faut pas mélanger les torchons et les serviettes ! L'autre erreur qui est la plus frappante est la forme de la carrosserie. Rarement une forme si compliquée a été adoptée sur une voiture de série. Que de coins et de recoins !

Greenwashing oblige, cette CT 200h se veut écologique

Pour les jantes, tout le contraire. On ne peut pas dire que les designers aient passé des années sur ce sujet, d'un banal affligeant. Après moult recherches, j'ai enfin réussi à trouver quelque chose de joli : une forme fine, épurée mais pourtant jamais vue pour un profil, directement repris du concept de Francfort. L'intérieur ne présente pas d'originalité particulière mais a un dessin agréable, un air très high-tech. Une voiture pour les occupants du véhicule mais pas pour les passants qui la regarderont !

Une compacte banale, même à l'intérieur.

Comme l'indique le H dans CT 200h, cette compacte est hybride ! Il est là son plus gros atout ! C'est un 1.8 VVT-i essence qui est couplé avec un moteur électrique et des batteries NIhM -Nickel Métal Hydrure, moins évoluée que celles de la Prius, au Lithium-ion. On n'en sait pas plus sur cette motorisation qui devrait souffrir de la concurrence de la Toyota Auris HSD révélée il y a peu. Il y a une chance qu'une version 3 portes voit le jour qui serait bien sûr accompagnée d'une version sportive F.

La voiture au design le plus compliqué de l'année !

Commercialisation à la fin de l'année pour cette voiture qui mise beaucoup sur son moteur et un peu moins sur ses lignes.

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Lulu

Porsche Cayenne II

SCOOP !!! Le Cayenne deuxième du nom montre enfin le bout de son gros et polluant nez. Pas de révolution stylistique mais révolution mécanique.

Porsche avait prévus de le dévoiler lors de l'ouverture du Salon de Genève le 4 mars mais ils ont dû oublier de vérifier la plomberie. C'est pas pour nous déplaire de telles négligences, donc on se sert.

Un nouveau visage moins lourd que l'actuel.

Au premier abord, il reste dans le style général de la première version avec un profil très similaire, une face avant dans les codes stylistiques de Prosche initiés par la Panamera, mais où la dessin de la partie arrière est inhabituelle. En bref pas de quoi fouetter un chat.

Le Cayenne fait son entré en avance.

Là où Porsche a fait un réel effort, c'est dans le domaine de la mécanique et de la technologie embarquée. Tout est fait et mis en place pour réduire les émissions de CO² et diminuer la consommation en carburant. Moteur plus économe, plus sombre, poids en baisse, ou encore une version Cayenne Hybrid S. il semblerait que Porsche veut se donner bonne conscience tout en augmentant les puissances moteurs. La version hybride du Cayenne est clairement la plus grosse nouveauté de ce nouveau modèle.

L'hybride Porsche fera son apparition avec le Cayenne.

Le Cayenne H disposera d'un système sophistiqué de transmission hybride qui combine un V6 essence 3.0 l de 333 Ch avec un moteur électrique de 47 ch, fonctionnant sur des batteries lithium-ion. A la sortie, c'est rien de plus que 380 chevaux. Selon les conditions de conduite, le moteur thermique et le moteur électrique peuvent fonctionner indépendamment ou ensemble. Les deux systèmes de fonctionnement sont reliés par un embrayage de découplage. Un contrôleur hybride coordonne constamment leur interaction et la gestion électronique de l'embrayage fait la transition entre les différents modes de conduite. Comme de nombreux hybrides, le Cayenne S hybride peut couvrir de courtes distances sur l'énergie électrique seul, libre d'émissions et de bruit jusqu'à une vitesse de près de 65 km/h.

Les feux arrières sont connus depuis plusieurs mois.

Pour les motorisations classiques, Porsche programme un V6 3.6 l de 300 ch, tandis que le Cayenne S sera mue d'un V8 4.8 l de 400 ch. La gamme Cayenne Turbo recevra un V8 bi-turbo de 4.8 l moteur et de 500 ch. Le diesel est bien entendu reconduit et se sera même un 3.0 l V6 turbo D.

La qualité d'assemblage est toujours là

Le Cayenne fera ses débuts américains au mois d'avril lors du New York Auto Show avant d'arriver en vente en Juillet. Le marché américain recevra initialement le Cayenne S et Cayenne Turbo avec moteurs V8, les Cayenne V6 et S hybride arriveront à l'automne. Pour nous se sera pour Genève à partir du 4 Mars.

Soulyx

Skoda Roomster & Fabia restylées

Ça bouge du côté du constructeur tchèque. Les nouveautés de Skoda s'enchaînent sur tous les segments ! Après l'Octavia restylée, la nouvelle Superb, le Yéti et la Superb Combi, viennent les version restylées des Fabia, Fabia Combi et Roomster. Un restylage à la sauce Groupe VAG : peu novateur.

Plus de sérieux chez Skoda

Rien de bien intéressant au premier abord: petit changement de calandre, nouveau bouclier, des anti-brouillards agrandis (on aurait pu s'en passer, cela disproportionne ces voitures). Mais ces changements rapprochent ces citadines du reste de la gamme. Un début d'effet Volkswagen ?
Un restylage léger mais qui en dit long sur les futurs modèles : tous plus ressemblants les uns que les autres, et tous plus sérieux les uns que les autres...

Le reste des évolutions sont sous le capot des véhicules. Les 1.4 et 1.6l de respectivement 86 et 105ch sont remplacés par des 1.2 Tsi de la même puissance. En diesel plus de changement: le 1.4 Tdi est remplacé par un 1.2 TDi Common Rail 75ch et le 1.9 TDi s'en va au profit d'un 1.4 TDi Common Rail qui se décline en 90 et 105ch. Tous ces diesels rejetent moins de 110gC02/km.

Les promotions sont donc finies pour les Fabia & Roomster avec l'arrivée de ce restylage ! Place au sérieux, à de meilleurs moteurs.

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Lulu

Mercedes F800 Style

C'est avec un concept tout en beauté que Mercedes préfigure à la fois des détails de sa future CLS, mais aussi son design pour les années à venir. Et ces années risquent d'être heureuses à la vue de ce design. La marque à l'étoile veut maintenir son image de luxe en y ajoutant la sportivité qui manque tant à ses dernières productions classiques (j'ai bien dis "classiques", car le sport n'est pas ce qui manque sur la SLS AMG) de Mercedes.

Mercedes se veut plus sportif et le fait comprendre avec le F800.

C'est au nom, pas si doux, de F800 Style Concept que répond ce coupé 4 portes. Comme dit précédemment, ce concept se veut très dynamique. Tous ces plis sur la carrosserie et les phares très effilés renforcent cette idée. Notons un élément qui est tout simplement superbe, mais qu'on a peu de chances de retrouver sur les futures productions de la marque : les jantes, et leur aspect "flottant". Une sensation d'apesanteur très agréable qui allège ce concept-car. A l'arrière, les feux se rejoignent par un fin bandeau. Malgré la sensation de voir une Audi, il y a là aussi de quoi être séduit. L'intérieur est tout aussi plaisant avec son design très allégé, et surtout mais alors surtout, Mercedes arrive à passer par "l'étape bois" sans proposer ce matériaux tout foncé et ultra-laqué. En effet la couleur très claire du bois à l'aspect assez naturel s'accorde très bien avec le blanc de l'habitacle. L'un des seuls reproches à faire (qui est malheureusement assez important) est le profil assez mal proportionné, peu équilibré.

Ce concept préfigure les futurs modèles de Mercedes.

Bien sûr, Mercedes se devait de motoriser son concept avec un moteur propre. Il s'agit d'un moteur essence/électrique de 400ch (300ch essence et 100ch électriques). C'est en fait une évolution de la motorisation de la Classe S400 Hybrid. La F800 Style propose également un innovant système qui permet au conducteur de ne pas poser ses mains su le volant en dessous de 40 km/h. Pour le moment, cela ne semble pas très rassurant, mais il faudra bien un jour s'y faire...

L'intérieur du concept F800 Style.

En bref, Mercedes essai de dépoussiérer son image, un brin vieillotte, avec ce concept qui nous annonce plusieurs modèles à la fois : les "plis" seront sur la future classe B, la calandre sur la CLS II etc. La marque à l'étoile se rend compte avec le succès d'Audi que la sportivité ne doit pas être mise trop de côté, même sur les modèles classiques !

Révélation à Genève, dès le 02 Mars.

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Sources : WorldScoop, Blog Automobile

Lulu.

Bentley Continental GTC Supersports

Bentley, symbole du charme anglais distingué, décide d'aboutir la gamme Continental, en offrant au cabriolet GTC la déclinaison ultime de ce modèle : la version Supersports. Faut-il le rappeler, cette Supersports est le mélange des extrêmes : puissance maximale, avec carburant écologique ! C'est même toute la gamme Continental, au moteur W12, qui peut désormais s'abreuver à l'E85, le fameux éthanol. Mais avec la Supersports, le W12 montre toute sa cavalerie : 630 chevaux.

La Bentley Continental GTC Supersports

Depuis 2003, Bentley possède une entrée de gamme -toutes proportions gardées, elle débute au delà des 100.000 €. Nommée Continental, c'est l'aboutissement du rachat par le Groupe Volkswagen à la fin des années 90. Un rachat qui a permis de sauver Bentley, qui possède avec la Continental un modèle au charme suranné mais à la technologie avancée. Le cabriolet GTC (C pour Convertible) est née d'une simple ablation du chef du coupé GT, et propose donc des performances équivalentes. Preuve en est avec la Supersports, qui malgré un régime sec de 100 kg, pèse toujours 2,4 tonnes : une véritable signature Bentley !

Un profil magnifique

Tout le paradoxe de la Continental se situe donc dans son mélange des extrêmes : après le moteur, c'est dans le design qu'il réside. Malgré une taille de sumotori, la belle est à la fois équilibrée et légère. Le charme de l'intérieur finit de convaincre le possesseur d'une telle voiture qu'il a entre les mains une véritable déesse. Le plus difficile ? Choisir entre cette "Conti" GTC, et ses rivales directes : Aston Martin DBS Volante, Mercedes SL, Audi R8 et Alfa Romeo 8C Spider... et tant d'autres must have !

Des performances de haute volée, pour une majesté inatteignable.

Avec une répartition du couple de 800 Nm en 40/60 (la Conti est une transmission intégrale), la vitesse maximale de la GTC Supersports est promise à 325 km/h, avec un 0 à 100 mesuré en 4,2 secondes. Stratosphérique, tout comme sa consommation finalement sobre : 16,7 l aux 100 km, pour un total de 388 g de CO² au km. De grâce, si cette Supersports se donne un alibi écologique de par son alimentation à l'éthanol (qui comme chacun sait, n'est pas si bénéfique pour la planète), elle reste une voiture pour qui se soucie peu de l'environnement.

Sur ce dernier jugement, il faut être critique. En toute honnêteté, il serait préférable pour nos yeux de croiser plus souvent des GTC Supersports ! Disponible en trois coloris, Blanc Satin, Magenta ou Orange Flamboyant, cette Continental restera un oiseau rare, qui ne trahit en rien les habitudes du B ailé de Bentley.

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François Mortier.

News : Audi RS5

Coutumier du fait, c’est tout naturellement qu’Audi greffe à son A5 le matricule RS. Forte de sa mutation, la belle allemande se dôte d’un moteur 4.2 V8 de 450ch qui lui permet de répondre allégrement à l’ennemi de Munich, la BMW M3. Alors, simple amateur ou vrai sportif, ce coupé RS5 ? Scoopix vous propose de faire le tour de la bête, ou plutôt, du monstre, pour en avoir le cœur net.

La nouvelle Audi RS5. Radicale !

Sachez d’abord que si la RS5 a l’honneur d’animer les pages du blog, c’est grâce à la société de communication Post Recom qui a eu la « bonne idée » de divulguer sur internet la brochure du coupé d’Ingolstadt. En effet, la marque aux quatre anneaux n’avait pas prévu de révéler son nouveau bébé tout de suite, mais avait décidé de le garder bien au chaud jusqu’à l’ouverture du salon de Genève. En attendant, la RS5 est là, et les différents médias du net, notamment WorldScoop, ne se sont pas gênés pour propager sans relâche les photos officielles. Il nous apparaît alors une voiture très réussie esthétiquement (il faut dire que la base s’y prêtée largement), où tous les artifices sont bons pour la rendre sportive. Prises d’air élargies, bouclier proéminent, calandre et rétroviseurs chromés, doubles canules d’échappements, et le becquet qui va bien. Le tout apparaît radical mais homogène.

Forte de ses 450ch, la RS5 n'a pas peur de la M3 de chez BMW !

A l’intérieur, les sièges baquets sont de mise, et les (fortunés) clients peuvent choisir entre un éventail de 3 sièges différents. On ne se refuse rien chez Audi ! Cuir à profusion, carbone et finition léchée : le sport transpire dans un univers austère et luxueux, où règne les matériaux nobles et les allusions au monde de la formule 1.

L'intérieur, voulu très haut de gamme et résolument sportif.

Mais c’est bien entendu sous le capot que la RS5 a bénéficié des plus grands soins. Le moteur, qui se présente comme un véritable titan, est fort de 450ch, comme dit précédemment. Beaucoup attendaient et espéraient revoir le moteur V10 de la RS6, mais Audi a donc finalement opté pour un V8, vraisemblablement pour apporter un gain de consommation (car même de le monde du luxe et des voitures sportives, l’écologie prime plus que jamais. Pour se donner bonne conscience ou bien véritable détermination, la question mérite cependant d’être posée.). Les informations se font rares pour le moment, du fait que la voiture n’aurait pas du voir la lumière du jour de si tôt. Nous savons tout de même qu’elle engloutie le 0 à 100 km/h en 4.5 secondes, que la vitesse de pointe a été bridée à 250 km/h, et que le système Quattro est présent. Pour finir, la garde au sol a été rabaissée de 10 mm par rapport à l’A5.

Assurément vraie sportive, la présentation de la RS5 au public interviendra donc dès le 02 Mars, au salon de Genève. Notez qu’il y a tout juste 30 ans, la marque allemande révélait le coupé Quattro !

Sources : WorldScoop, Blog Automobile.

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Drien19

Mitsubishi ASX / RVR

Le succès des Nissan Qashqai & Peugeot 3008 fait (encore...) des envieux. La famille des crossover s'agrandit avec l'arrivée de la firme aux diamants sur le segment. Ce RVR (qui se nommera ASX dans notre marché) a-t-il ses chances face aux deux titans cités précédemment ? C'est ce que nous allons voir !

Un SUV qui se veut agressif

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Étape n°1, le look. Les "vétérans" gardent l'avantage (même si le groin du 3008 est très discutable...). Mitsubishi tourne en rond et adapte cet face avant sur tous ses modèles. Ce "gros pif" très agressif, inversé et effrayant, dissuade. La partie arrière n'est pourtant pas aussi catastrophique! Très sobre, pas trop carrée, pas trop chargé, bon point pour Mitsubishi. Autre point fort, la teinte, originale, pratiquement jamais vu un tel bleu turquoise. Au moins la firme japonaise a compris qu'il fallait des teintes innovantes pour les véhicules (non non, ne vous sentez pas visée madame VW CrossPolo au teint grisâtre). Quant à la planche de bord nous ne nous attarderons pas dessus tant elle est désuète.

La RVR (ASX) propose un arrière sobre, assez beau finalement

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Étape n°2, les motorisations. Là aussi le Qashqai et le 3008 gardent l'avantage grâce à une palette plus complète. Le Mitsubishi ne pourra compter que sur le 1.8 MIVEC de 139 ch essence et un 1.8l diesel. Espérons qu'ils soient convaincants !

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Étape n°3, le choix. Ici le RVR/ASX arrive à lutter avec ses concurrents. Deux versions, 2 et 4 roues motrices, seront de mise. Si nous bénéficions des mêmes teintes qu'au Japon nous pourrons croiser sur nos routes 4 bleus différents, un vert kaki, plusieurs gris, du blanc du noir et surtout du...rose ! Non non je ne plaisante pas, il s'agit d'une version rouge aux reflets très (mais alors très) rose sera disponible. Espérons que l'option siège en moumoute couleur carrosserie sera au catalogue, Paris Hilton souhaiterait remplacer sa Bentley Continental GT d'après la revue "Public" (tout le monde s'en fiche, mais vous lisez quand même non ?).

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Verdict : Le RVR/ASX ne convainct pas vraiment au premier abord, son style déçoit, les motorisations manquent. Pour le moment, dur de lui trouver des atouts mis à part qu'il est disponible en 2 et 4 roues motrices et que la palette de couleur est variée. Les essais nous réserveront peut-être des surprises à propos de la modularité par exemple ! Il devrait en plus souffrir de la concurrence de son clône : le Citroën C-Country. Il est également envisageable d'avoir une déclinaison Peugeot (provisoirement appelée 2008), mais la marque sochalienne ayant déjà le 3008, ce véhicule arriverait en doublon inutile. Arrivée en France de l'ASX à l'automne.

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Lulu

News : Citroën DS3-R

Nous allons laisser de côté quelques instants Volkswagen et ses multiples déclinaisons de la Polo, laisser tomber l’austérité ambiente des productions de la marque de Wolfburg pour s’intéresser à une voiture totalement a contrario : la Citroën DS3-R !

L’arrivée des beaux jours donneraient-ils des ailes aux constructeurs Français ? Apparemment, oui. Renault Wind, Peugeot RCZ, et maintenant Citroën avec la déclinaison Racing de sa DS3, le salon de Genève s’annonce donc sous les meilleurs hospices pour nos trois constructeurs tricolores.

La Citroën DS3 Racing : juste spectaculaire.

Toit orange, calandre orange et planche de bord de la même couleur : la petite citadine met dans l’ambiance. Une ambiance sportive agrémentée par les jantes 19 pouces en forme de tourbillon, et des sièges baquets repris de la 207 RC, la cousine de chez Peugeot . La DS3-R ne fait donc pas dans l’hésitation, ni vraiment dans la finesse : l’audace, prime.
Les touches de carbone à l’intérieur, l’alcantara, tout rappelle l’univers du sport et transpire le monde du WRC, cher à Citroën.

Vue de l'arrière, où l'on distingue bien les deux pots d'échappement.

Ajoutez à cela des autocollants DS3 Racing des plus flatteurs. Seulement voilà, la voiture sera proposée comme une édition limitée, à 1000 exemplaires. Technique de communication de la part des chevrons, qui permettra à sa DS3-R d’encore plus susciter le désir et l’envie.
Mais c’est finalement la motorisation qui apparaît comme une surprise : il y a encore quelques jours, on ne savait pas à quoi s’attendre. Et cette DS3-R a opté pour le 1.6 THP de 200ch de la RCZ, développant jusqu’à 275 NM de couple.

L'intérieur, toujours "so orange".

Présentation en avant-première au salon de Genève, et commercialisation au 2nd semestre 2010. D'ici là, visionnez Orange Mécanique !

Citroën DS3 Racing
envoyé par Tours2piste. - NASCAR, F1, tuning et crash en video.

(MAJ : vidéo)

Drien19

News : VW CrossPolo

Volkswagen est plus que jamais en tête de l’actualité automobile ces jours-ci ! Après le nouveau Touareg, la Polo GTI, et le nouveau Sharan qui commence sérieusement à faire parler de lui, c’est au tour de la CrossPolo de révéler officiellement et sous la lumière du jour ses pare-chocs proéminents et en plastiques. Revue en détail.

La nouvelle CrossPolo !

La nouvelle Polo, 5ème génération, qui a été présentée il y a tout juste un an au salon de Genève, connaît un succès grandissant en Europe. Et c’est donc comme à son habitude, que la marque allemande multiplie les déclinaisons et occupe sans relâche tous les terrains. 5 portes, 3 portes, GTI, puis suivra une version SW, et même un cabriolet ! Mais c’est donc la CrossPolo, révélée il y a tout juste quelques heures sous la forme de photos officielles, qui intéresse Scoopix aujourd’hui.

La CrossPolo fait honneur aux protections en plastiques.

Habillée d’un costume qui transpire l’aventure et l’évasion, cette petite Volkswagen reste tout de même assez BCBG dans son design, qui apparaît sans aucune dérive, ni faute de goût, ni réelle originalité. Et cette teinte gris/beige des plus austères n’arrange pas ce constat et n’ajoute absolument pas la dose de fun, propice à ce type de véhicule, qui manque cruellement à cette CrossPolo. Cela dit, la recette a bien marché avec l’ancienne génération de CrossPolo, donc fermons la parenthèse. La nouvelle génération, bien qu’ayant une garde au sol rehaussée de 15 mm par rapport à la 5 portes dont elle dérive justement, ne dispose que de deux roues motrices, un handicap face à ses concurrentes, Nissan Juke et autre Toyota Urban Cruiser.

A l'intérieur, on découvre un mélange de beige et de noir.

Cette Polo des champs n’est donc pas un 4X4, mais en possède tout du moins, l’âme baroudeuse : protections en plastique de couleur anthracite, protège-carter chromé, des jantes spécifiques et une ambiance intérieure mêlant astucieusement le noir et le beige joue clairement en sa faveur. Mais la Volkswagen se veut également familiale en proposant des barres de toit en option, et même des crochets et des œillets de fixation dans le coffre.

Concernant l’offre moteur, elle est sans surprise la même que la berline, à l’exception du moteur 1.2 de 60ch, du 1.2 TDi de la version BlueMotion, et bien sûr, elle ne reprend pas le 1.4 TSi fort de ses 180ch de la GTi.

Avant d’être proposée à la vente dès la fin du mois de Mai et pouvoir ainsi escalader les trottoirs parisiens, elle escaladera d’abord les moquettes du salon de Genève.

Sources : Worldscoop, Autoweek.nl, l'Automobile Magazine

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Drien19

Opel Flextreme GT/E

Mis à part son Meriva II, Opel ne présentera aucun nouveau modéle au Salon de Genève. Mais la marque se rattrape en nous présentant une spectaculaires berline de la taille de l'Insignia et à motorisation hybride. Cela commençait à se faire rare les véritables concepts-cars qui ne servent pas à préfigurer un modéle de grande série, tel la Citroën DS High Rider ou la 5 by Peugeot...

Le Flextreme GTE

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Dès le début quelque chose m'a choqué comme sûrement beaucoup d'entre vous. C'est le design de l'ancienne identitée Opel. Une impression de déjà vu, de passé. Opel aurait ressorti un prototype du placard? On retrouve aussi des insipirations de Citroën (aileron de requin, typiquement DS3) et bien d'autres. On pensait pourtant qu'Opel avait trouvé sa voie! Après il faut avouer que les lignes sont spectaculaires pour une familiale mais c'est bien là un de ses seuls atouts qui peut faire chavirer les coeurs! Le reste est lisse, voir même très "Volkswagen".

Un style qui parait daté

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Ce concept de 4,76 mètres de long reprend le système E-REV des Opel Ampera/Chevrolet Volt. Sans le bloc thermique, la Flextreme GTE peut rouler 60km, et avec ce bloc, 500km. La consommation record de 1,6l/100km ainsi que ses émissions de C02 de 40g/Km en font un concept-car très technologique. Cette prouesse est réalisée grâce au vitrage consititué de polycarbonate et la carosserie en carbone qui limitent le poids de la voiture.

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Certaines des lignes du Flextreme GT/E seront présente sur l'Ampera qui au vu du concept de l'année dernière s'annonce être assez simpathique, mais nettement moins belle que l'Insignia, le premier fruit du renouveau.

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Lulu

Alfa Romeo Pandion

Le concept Pandion, dessiné par le bureau de style de Bertone est l’un des trois concepts commandés par Alfa Roméo pour envisager le futur visage de sa routière 169 que certains appellent déjà "Giulia".

La dernière œuvre de Bertone !

En visionnant les images de ce concept pour la première fois, j’ai tout de suite pensé au "Ying" et au "Yang", le fameux concept japonais du bien et du mal qui forme un tout dans un même corps. Etrange me direz-vous et loin d'être évident au premier coup d’œil, je vous l’accorde. Mais cela colle plutôt bien avec les lignes du profil et le caractère très présent et bien trempé de ce concept.

Le "bien" est symbolisé ici par cette face avant d’une propreté remarquable. Son regard sombre et agressif contraste avec la pureté du blanc et des lignes de la carrosserie. La calandre Alfa Roméo classique est bien évidemment reprise et élégamment intégrée afin de rester dans l’esprit et semble prolonger les phares.

Un regard sculpté et trés agréssif.

Une vague, entièrement en verre, qui relie une roue à l’autre, vient souligner le profil tout en laissant apparaître l’habitacle. Cette dernière vient tout de suite évoquer la vague de séparation du fameux symbole japonais.

Un profil de coupé pour annoncer une routière.

Pour le côté obscur de la créature, il faut suivre la vague qui nous conduit vers l’arrière. Il est dirons-nous…totalement dans un autre esprit, comme s'il semblait vouloir s’opposer à l’avant. La couleur noir bien évidemment va dans ce sens. Le traitement des surfaces, qui sont très aléatoires et désordonnées témoignent en quelques sortes de sa férocité et de sa puissance, j’irais même jusqu’à dire de sa colère. Une colère que le dessin des feux et les «pic» viennent prouver.

Les lignes de l'avant s'opposent à celles de l'arriere.

Bertone nous fait donc son interprétation du "Ying" et du "Yong", un concept aux lignes pures et sages mais qui cache malgré tout dans ses entrailles une férocité et une agressivité inattendue. Une férocité mue par un V8 de 450 ch emprunté à la sublime 8C Competizione. Quatre personnes pourront se loger à bord de ce bolide tout de carbone vêtu. On voit mal la future 169/Giulia là-dedans mais cela reste très agréable à regarder et, allez, soyons fous, et espérons une hypothétique Giulia coupé ainsi ou encore la prochaine génération d’Alfa GT dans cet esprit là ! Elle sera à découvrir en vrai à partir du 4 Mars, au salon de Genève forcément !

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Soulyx