On efface tout et on repart d’une feuille blanche. C’est sans doute ce que s’est dit la maison mère Opel lorsque la question du remplacement de son minispace s’est posée. En effet, cette nouvelle et deuxième génération n’a strictement rien à voir avec son ancêtre. On aperçoit ici les nouveaux codes stylistiques de la marque au Blitz, largement amortis sur les nouvelles Insignia et Astra : feux effilés, calandre béante, l’originalité prime. Et ce n’est pas les portes arrières à ouverture antagoniste à 84°, prouesse industrielle déjà vue sur la Mini ClubMan et la Mazda RX-8, qui diront le contraire.
Le tout apparaît homogène, et tout simplement beau. Une réussite !Les portes antagonistes, s'ouvrant sur un angle de 84°.
Le nouveau Meriva avec des optiques lenticulaires (mais pas xénons).
Bavard à l’extérieur, ce nouveau Meriva l’est moins à l’intérieur, où il ne se dévoile pas. Mais une photo traîne tout de même sur les différents sites du net. Un intérieur qui est nettement moins travaillé et futuriste que le design extérieur, mais qui se montre agréable à l’œil quoi qu’il en soit. Les photos volées n’étaient pas là pour nous rassurer, il faut dire !
La planche de bord bleu turquoise, on aime, ou on n'aime pas !
Sous le capot, court et plongeant du dernier naît de la marque, là aussi, Opel ne s’enfourne pas sous les détails. Nous savons seulement que la palette des motorisations en offrira six, dont les puissances seront comprises entre 75ch et 140. En effet, c’est le nouveau 1.4 Turbo essence qui châpotera la gamme, en passant par le connu 1.3 CDTI de 95ch.
Disponible en six motorisations, allant jusqu'à 140ch.
De prime abord, le Meriva deuxième du nom a largement de quoi tenir tête aux colosses de la catégories, comme le C3 Picasso ou bien le Kia Soul. Mais qu’en est-il vraiment ? Il vous donne rendez-vous au salon de Genève, en Mars, pour le savoir.
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Sources : WorldScoop - Carscoop - NetCarShow - l'Automobile Magazine.
Drien19.
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