La seconde génération d'Opel Meriva est désormais sur des rails. Son développement est terminé, et la marque peaufine la phase de fiabilisation, avec quelques pré-séries entièrement découvertes récemment surprises en Allemagne.
Côté motorisations, peu d'information. Cependant, les 1.3 l CDTi de 75 à 110 ch devraient être reconduits en diesel. La gamme essence pourrait être supprimée vu son manque de succès ; une version sportive OPC n'est pas au programme, à cause des difficultés financières d'Opel qui a d'autres projets plus cruciaux à financer.
Les tarifs commenceront à 14.000 €. Pas mal pour un monospace compact de la taille d'un Renault Scénic de première génération !
Sources : LeBlogAuto, WorldScoop.
Crédit photos : WorldScoop, AutoWeek.nl
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Ce nouveau Meriva est en tous points conforme au concept qui l'annonçait : design, format -qui grimpe à 4 m 20, et innovations techniques comme les étonnantes portes antagonistes à l'arrière.
De quoi s'agit-il ? De portes suicides, qui s'ouvrent à l'inverse de l'ouverture classique. Pour vous figurer leur cinématique, pensez aux portes avant de la Traction Avant ou... aux dernières Rolls Royce ! Opel a ici fait un parti pris original, mais qui n'offre pas de réel progrès d'accessibilité : le pied milieu est toujours présent pour solidifier la structure en cas de choc frontal, et la taille de la porte est plutôt petite.
Toujours est-il que le pari, audacieux, a retardé le projet de plusieurs mois, puisque le Meriva aurait dû être présenté au Salon de Francfort. Il doit désormais attendre la prochaine date européenne : ce sera le Salon de Genève en mars 2010.
Le design est actuel, et cohérent à la gamme Opel. Une calandre en forme de blason, de larges phares globuleux, les codes actuels de la marque se retrouvent : pas d'excès, mais pas de fadeur non plus ! Un gage de durabilité dans le temps, mais pas d'effet choc dans la rue. Sur les flancs, le Meriva rappelle le Citroën C4 Picasso, avec un décroché qui est un véritable plagiat. Tant pis, on n'imite que le talent !
On remarque les traditionnelles "vagues" inaugurées par l'Insignia l'année dernière. Vu de l'arrière, la lunette affiche de belles formes, mais les feux sont légèrement trop petits. Détail choc : il semblerait que la sortie d'échappement, reprise à l'actuel Meriva, reste aussi mal intégrée que sur ces photos.
L'intérieur sera un classique Opel : console centrale avec les aérateurs et bonne qualité générale. Ici, l'Allemand ne s'est pas risqué à une instrumentation digitale centrale, ni à un design épuré de monospace.De quoi s'agit-il ? De portes suicides, qui s'ouvrent à l'inverse de l'ouverture classique. Pour vous figurer leur cinématique, pensez aux portes avant de la Traction Avant ou... aux dernières Rolls Royce ! Opel a ici fait un parti pris original, mais qui n'offre pas de réel progrès d'accessibilité : le pied milieu est toujours présent pour solidifier la structure en cas de choc frontal, et la taille de la porte est plutôt petite.
Toujours est-il que le pari, audacieux, a retardé le projet de plusieurs mois, puisque le Meriva aurait dû être présenté au Salon de Francfort. Il doit désormais attendre la prochaine date européenne : ce sera le Salon de Genève en mars 2010.
Le design est actuel, et cohérent à la gamme Opel. Une calandre en forme de blason, de larges phares globuleux, les codes actuels de la marque se retrouvent : pas d'excès, mais pas de fadeur non plus ! Un gage de durabilité dans le temps, mais pas d'effet choc dans la rue. Sur les flancs, le Meriva rappelle le Citroën C4 Picasso, avec un décroché qui est un véritable plagiat. Tant pis, on n'imite que le talent !
On remarque les traditionnelles "vagues" inaugurées par l'Insignia l'année dernière. Vu de l'arrière, la lunette affiche de belles formes, mais les feux sont légèrement trop petits. Détail choc : il semblerait que la sortie d'échappement, reprise à l'actuel Meriva, reste aussi mal intégrée que sur ces photos.
Côté motorisations, peu d'information. Cependant, les 1.3 l CDTi de 75 à 110 ch devraient être reconduits en diesel. La gamme essence pourrait être supprimée vu son manque de succès ; une version sportive OPC n'est pas au programme, à cause des difficultés financières d'Opel qui a d'autres projets plus cruciaux à financer.
Les tarifs commenceront à 14.000 €. Pas mal pour un monospace compact de la taille d'un Renault Scénic de première génération !
Sources : LeBlogAuto, WorldScoop.
Crédit photos : WorldScoop, AutoWeek.nl
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